Des Jocistes

[2015.06.05] La Rencontre Nationale de la Mission Ouvrière vue par des jocistes et futurs jocistes !

Du 23 au 25 mai, la Mission Ouvrière organisait sa grande Rencontre Nationale à Lourdes ! Un moment important pour toutes et celles et tous ceux qui sont venus vivre cet événement, notamment pour les jocistes, témoignages:

RNMO

Dans le bus qui nous ramène en Rhône Alpes, l’ambiance est bonne. Ça chante, ça blague, ça dort (un peu). On se remémore cette grande rencontre.
Quelques réactions à chaud :

 
Maxime, 14 ans, Clément,15 ans, Robin, 15 ans et Rayan, 12 ans, sont en club Top Ados à Privas (07), ils sont au collège : « Notre accompagnateur nous a invité car on arrive à la fin de l’ACE, c’était pour découvrir la JOC. On a pu rencontrer d’autres jeunes de notre âge et vivre des bons moments ensemble, partager des choses, se balader, jouer. On a découvert que la JOC ça ressemble bien à l’ACE. »

 
Karine : « Pour moi, c’était la première fois que je venais à Lourdes. On est venu avec le vécu de notre fédé, nos questions. On a rencontré du monde, découvrir ce qui se vit ailleurs. On repart avec des idées. Je retiens surtout la découverte d’un peuple de Dieu à multiples visages, multiples richesses. »

 
Maud : « Je venais pour mieux découvrir la Mission Ouvrière, mettre des visages sur des militants ACO, rencontrer des Petites Sœurs de l’Ouvrier, revoir des copains de la JOC. Je repars confiante avec l’envie de revivre la révision de vie. »

 

Béatrice : « on s’est beaucoup questionné sur le O de la JOC dans mon groupe de marche, c’est une question importante. Parfois en tant que jociste j’ai du mal avec ça, je me sens du milieu ouvrier, sans pour autant s’avoir l’expliquer. Là on a pu en discuter et ça aide à se sentir du milieu ouvrier, à ne plus avoir peur de le revendiquer. »

 
Alexandre : « Un bon moment de convivialité, où on retrouve des gens qu’on connaissait. Une bonne ambiance. Ça fait du bien de discuter et de découvrir comment les mouvements se vivent ailleurs. »

 
Camille : « Pendant la marche, il y a avait beaucoup de défaitisme dans mon groupe, mais pendant le partage d’évangile, on a rebondi. Une dame m’a dit qu’elle voulait fonder la JOC avec des jeunes vers chez elle. »

 
Et dans les bouchons de la vallée du Rhône, alors que la nuit commence à tomber, on essaye de ne pas trop penser au lendemain, car l’école ou le boulot nous attendent !

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